Construction d'une seconde usine en Côte d'Ivoire
Interview de M. Marques, Directeur Technique
M. Marques, parlez-nous de vous
Je vis en Côte d’Ivoire depuis maintenant quelques années. Je suis Directeur technique au sein du groupe SIPRA, et j’ai travaillé sur le projet de construction d’une nouvelle usine d’aliment de bétail à Yamoussoukro il y a maintenant 2 ans. 100% automatisée et fonctionnant sous Nutriciel, elle a une capacité de production de 130 000 tonnes par an. La particularité de notre groupe : nos activités vont de la culture du maïs à la restauration rapide en passant par l’élevage et les abattoirs.
« Après plus de 20 ans à travailler avec un autre prestataire sur d’autres sites en Afrique, j’ai choisi Nutriciel et j’en suis satisfait. »
Vous avez pour projet de construire une nouvelle usine ?
Devant le succès de notre site, nous allons moderniser notre seconde usine située à Abidjan. Le cahier des charges sera identique. Nos productions se font avec un haut niveau d’exigence en terme de qualité et traçabilité. J’ai l’habitude de comparer la traçabilité de nos productions avec celle d’une usine de produits pharmaceutiques ! Ainsi, la sécurité de nos consommateurs est assurée (et de nos investissements). Nous tenons aussi à garder notre longueur d’avance sur nos concurrents.
Vous avez une nouvelle fois fait appel à Actemium ?
En effet, je souhaite avoir un standard Nutriciel sur nos usines. Un opérateur pourra ainsi passer d’un site à l’autre en gardant tous ses repères. Nous gagnerons ainsi en souplesse.
Pensez-vous être bien accompagné par l’équipe Actemium ?
Oui, tout à fait. Tout au long du projet, j’étais en relation avec Nicolas le chef projet. Les programmes sont testés et validés ensemble en amont. Ensuite, mes opérateurs sont formés par leur équipe sur place, lors de la mise en service. Au moindre problème, nous appelons la hotline qui fonctionne 24h/24. L’équipe est très disponible. Je leur attribue une note de 5 sur 5 en réactivité !
Nutriciel, un outil très souple, qui nous laisse « le droit à l’erreur »